|
DE L'IMPORTANCE D'ETRE CONSTANT
(Ou la place de la culpabilité dans la notion de "triple-retour")
Avec les écrits de Mr Kirirk, je donnerais plutôt :
"Et la Déesse dit: "que ce que tu fasse te revienne par trois fois". Depuis ce jour, les "faux" méchants vécurent malheureux, les "faux" gentils, heureux, et les gentilles sorcières Mysticopouffiasses orchestrant le bien en duplex avec la déesse, encore plus connes qu'avant".
Pourquoi les faux?, Tout simplement par ce qu'au final, ceux que la bedaine Esotérique qualifie de "méchants", ou plus précisément "tout êtres faisant autre chose que de la magie bénéfique", ceux dont la masturbation intelectuelle fait peur et la prédominance verbale (kikoulolmoijetuedesdémonstoutesmavie) fatigue, ne contrôlent en général pas bien leurs sentiments, ne prennent aucun recul sur les choses, et voient des signes partout. (y'à pas qu'eux,j'vous rassure).
Eux, ils ont des regrets.
Ah! on vient de dire le mot à l'origine de toute cette "Tambouile"...Regrets.
Bah oui...rien que le cas psychologique de la culpabilité fait 90% de ce que pourrais être le fameux "triple retour".
Explication :
Un gars me drague lourd au boulot.
Ras le bol, je fait un petit rituel histoire de le calmer, en invoquant "tel ou tel" puissance démoniaque à mon secours, et le type ne revient pas au boulot durant 1 semaines pour causes de santée.
A zut! ça à marché...et puis comme je ne contrôle pas mon énergie , et encore moins ce que j'en fait, j'y suis peut être allée un peu fort.
alors quoi?
Je me pose des questions, sur l'avenir du bonhomme, sur mes actions, les gens parlent de son sort autour de moi et cela m'affecte. Dans mon travail, car je ne suis plus concentrée, Chez moi, car je pense sans arrêt à ce que j'ai fait, je tente de rattraper le coup comme je peux, mais c'est catastrophique, alors je mea culpa, et ne supportant plus la pression, je me suicide.
A replacer dans un contexte psychologique précis.
Un véritable "agent du mal", ou "Cavalier de l'apocalypse" (comme à certain aiment se qualifier), n'aura pas de regrets. Pas par ce qu'il aime forcément tout détruire autour de lui (quoique?), mais tout simplement par ce qu'il comprendra son action et ce sera convaincu entièrement avant de tenter n'importe quelle approche. Magique ou pas.
Lorsqu'on ne s'auto-envoie pas de pensées néfastes, on est généralement de bonne humeur, et tout ce qui s'en suit.
Comme d'habitude, il ne s'agit pas de "croire", ou de "douter", mais de "savoir".
Pourquoi les faux gentils?
Pour le même principe. Ceux qui font du "bien" autour d'eux pour satisfaire une impulsion égoiste du soi, en mal de reconnaissance quelquonque.
Les mêmes qui généralement tuent au nom de Dieu (à comprendre ici dans une notion de globalité), ou qui se cache derrière tel ou tel dogmes pour perpétuer leurs saloperies.
Eux, en général, ils finissent leurs vie dans leurs lits, L'ONU au cul, mais dans leurs lits quand même.
Le monde est injuste.
Et les vrais gentils alors?...les gens qui prennent le temps de "peser" le pour et le contre avant chaque action, ceux qui ne s'énerveront pas sur le seul conducteur de bus qui drive durant la grève, ceux qui passeront leurs vie à ne pas faire grand chose sous peine de "bouleverser" la balance cosmique.
Constamment à se poser des questions pour tout et n'importe quoi, à se remettre en question sur le pourquoi du comment et du "je ne veux pas déranger tel ou tel entitée" ou tel machin sous réserve d'être punis, ou tout simplement mal élevé.
Eux aussi, ils se prennent des remords constamment en pleine face.
Encore une fois, je reste sur la position de ne pas "croire" mais de "savoir".
De l'importance d'être constant, même dans le changement.
Clow. |
Suivre le flux RSS des commentaires
Ajouter un commentaire
Créer mon blog